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#851 Le 19-07-2013 à 11h11

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Imat : Et je plein ton chat de vivre avec toi. Et si tu la tué sache que tu le regretteras un jour /library/php/forum/views/smilies/mad.png

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#852 Le 19-07-2013 à 12h53

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ma nouvelle histoire :p   :

Le tueur d’Angry Shade


Bonjour, Bonsoir, peut importe quel heure nous somme, toi qui lis ceci, ne vas jamais dans cette prison… jamais… . Je m’appelle Josh, j’ai 17 ans. Je ne peux rien dire d’autre.  Je vais vous raconter ce qu’il s’est passé.

Tout a commencé un jour banal, comme les autres. J’étais parti me balader au parc, comme d’habitude je passai par un petit chemin pas très connu par les gens de cette ville, c’était un raccourcit vers le parc. Mais un bruit étrange se fit entendre pas très loin… me disant que ce n’était qu’un chat, je passai mon chemin. Le bruit recommença, mais cette fois il était plus fort, jusqu'à m’en casser les oreilles. Je décidât alors d’aller voir, mais rien, rien appart un étrange chemin que je n’avais jamais remarquer. Rien d’étonnant, il était dissimulé par les herbes hautes.

  Le sol était fait de gravier, il y avait un panneau en bois qui indiquait un chemin, mais il n’y avait rien écrit. Par curiosité, je décidât d’aller voir ce qu’il y avait au bout de ce chemin étrange. C’était long, très long, j’avais beau marcher 10 minutes sur ce foutu chemin, je n’en voyais pas la fin. Au moment où j’allais abandonner, je pus voir un grand immeuble dissimulé derrière les arbres. Cela me redonnât courage et je continuât de marcher.

J’arrivât enfin devant ce fameux « immeuble », sauf que se n’en était pas un, c’était une prison sous le nom de « Angry Shade » ce qui voulait dire « ombre en colère », drôle de nom pour une prison, et  elle avait l’air d’être abandonnée. Je regardais ma montre, il était déjà 20h00. Je me dépêchât de retourner cher moi avant que ma mère ne rentre, sinon elle m’aurait trucidé. Une fois rentré, j’appelai quelque uns de mes amis pour leur parler de cette prison.

-Allo
-Allo Max ? C’est Josh, ça va ?
-Ouais et toi ?
-Ouais, tu ne devineras jamais ce que j’ai vu tout à l’heure !
- T’a vus quoi ?
-Tu vois le chemin que je prend a chaque fois pour aller au parc ?
-Ouais, ensuite ?
- Et ben j’ai trouvé un chemin pas très loin de celui-là qui mène à une prison abandonnée.
-Cool, imagine si elle était hantée ?
-Tu regarde trop de films d’horreur.
-C’est sa, fout toi de moi, mais es-ce que t’a des preuves qu’elle n’est pas hantée ?
-Et bien… non
-Sa te dirait une petite excursion en groupe là bas, la nuit ?
-Pourquoi pas, et puis comme ça je pourrais prouver que tu a tord !
-C’est ce qu’on va voir.
-Bon… au lieu de se disputer, il faudrait trouver une date non ?
- Sa te dirait vendredi soir a 00h00 ?
-Ok, je vais prévenir des amis.
-Ok, pour l’instant moi je vais faire mes petites recherches sur cette prison, comment elle s’appelle ?
-Angry Shade
-Ok, bah, je te rappellerais quand j’aurai trouvé des réponses ok ?
-Ok salut.


Pendant que Max faisait des recherches, j’appelai plusieurs amis pour leur demander s’ils voulaient venir, seulement trois on acceptés. Juste après, Max m’appela.
-Allo ?
-Ouais, c’est Max, j’ai finit mes recherches et sa dit que : cette prison a été construite en 1989 et a été abandonnée il y a 2 ans à cause d’un incendie provoqué par un des prisonnier, on dit aussi que celui-ci était schizophrène et avait volontairement brulé la prison disant que c’était pour sortir les prisonniers de cet enfer. Et aussi que le gouvernement a voulut étouffer cette histoire pour ne pas affoler les alentours, je ne sais pas vraiment pourquoi.
-Et ben…  on peut dire que c’était un malade ce mec !
-Mais pire, sinon t’a réussit à inviter qui ?
- J’ai pu en inviter que trois, Sofiane, Sandra et ma petite amie, Anaïs.
-Ok, tu leur à dit la date, l’heure  et un point de rendez vous?
-Ouais, on va tous se retrouver devant le parc et je leur ai dit aussi de ramener des lampes torches.
-Ok, bon... je te laisse, salut
!
Une fois le jour venu, on a tous fait le mur pour y aller, il faut dire que je n’ai pas été très discret, mais j’ai quand même réussit a ne pas me faire remarquer par ma mère. Je me mis en route, lampe torche en main, vers le parc. Ils étaient tous là, prêt à partir.
-Venez, je vais vous montrer où est ce chemin.

Et ils me suivirent tous vers ce fameux chemin. Je leur ai dit qu’il fallait marcher tout droit mais que le chemin allait être très long. Je pris Anaïs dans mes bras, histoire de la réconforter. Une fois arriver devant la prison, je m’avançais vers l’immense portail et l’ouvrit, son grincement nous cassa tous les oreilles. Nous sommes entrés à l’intérieur de la cour, rien d’anormal pour l’instant. Je m’avançais alors vers la porte d’entrée, elle était immense, son grincement était pourtant moins forte que celui du portail. En face de nous se trouvait une petite sale avec un bureau, il y avait un tas de feuille brulée sur le sol et du sang sur les murs… c’est a ce moment là que je me dis que ce n’était pas une bonne idée car... le sang était encore frais… . Je pris une grande inspiration et continuât d’avancer.

J’ouvris la porte qui était à coter du bureau, elle menait à un petit couloir, sur le sol… des cendres, des feuilles, du sang… . Je leur ai dis de rester groupés pour ne pas se perdre. Au bout du couloir se trouvait un escalier, il était très étroit, et sur le mur il y avait écrit avec du sang : Angry Shade. A mesure que l’on montait l’escalier, il faisait de plus en plus froid, de plus en plus sombre et il y avait de plus en plus de sang sur les murs. On arrivât au 2eme étage, la température était glaciale. Il y avait plusieurs cellules, a l’intérieur résidait les cadavres brulés des prisonniers, c’était équerrant. Sofiane n’a pas pu s’empêcher  de vomir a la vue de ces cadavres.

Soudain, on entendit un rire à en glacer le sang, on étaient tous pétrifiés.
-Max, arrête ce n’est pas marrant ! a dit Sandra
-Mais ce n’est pas moi je vous le jure !
Je repris mon sang froid et continuât d’avancer avec les autres, soudain, quelque chose sur le sol attirât mon intension, c’était une photo. Vu l’état dans le quel elle était, elle devait avoir été prise il y a cinq ans. Sur cette photo il y avait un homme en uniforme de prisonnier et deux policiers à coter de lui. Je décidât de reposer la photo où je l’ai trouvée et continuât d’avancer. Soudain ce rire recommença a retentir, il me glaça le sang, j’eu un malaise profond, et je pense que je n’étais pas le seul. Anaïs était glacée, je pouvais sentir son cœur battre la chamade. Je regardât Sofiane et Max, il étaient tous pâle. Sandra commençât a pleurer un peu et dit :

-Max arrête je t’en prie !! Ce n’est pas marrant !!
-Mais je t’ai dit que ce n’était pas moi !!
-Mais si ce n’est pas toi c’est qui ?!
-J’en sais rien !!
Je leur ai dit de se calmer et d’arrêter de crier. Plus nous avançons dans ce couloir humide, plus il faisait froid, j’étais glacé, j’avais peur, je voulais que tout ça se termine. Je voulais que tout ça ne soit qu’un rêve, car je savais que l’on n’était pas seul ici… Je commençais a vraiment m’inquiéter. Au loin dans le couloir, je vis quelque chose briller sur le sol, c’était orange. Je m’étais mis en direction de cet objet, c’était un cyalume, vous savez ces petites barres fluorescentes que l’on plie en deux pour qu’elle s’allume. Je l’eu pris avec moi au cas où.
-J’ai peur, me chuchotât Anaïs.
-Ne t’inquiète pas je suis la, lui ai-je répondu.

On arrivât enfin au bout du couloir, il y avait un autre escalier, encore plus sombre que l’autre, et surtout plus effrayant. Une fois arrivés au 3eme étage, je vis une lampe torche sur le sol, elle était allumée et éclairait le mur, sur celui-ci il y avait écrit « vous allez mourir ». Ces mots nous glacèrent le sang.
-Cette fois s’en ai de trop, je rentre cher moi ! a dit Sofiane
-Non attend reviens !! a crié Sandra.

A en voir son visage, elle n’oserait pas le suivre. Mais c’est a partir de ce moment la que tout a dégénéré… Sofiane était parti, mais sa allait être pour de bon… Un rire retentit dans le couloir, c’était le même rire que tout à l’heure, mais il était beaucoup plus fort… On entendit Sofiane crier, puis plus rien… le silence total. Nous nous mirent en direction du cri et la… nous virent Sofiane par terre, éventré, couvert de sang… . Sandra qui était derrière nous tous commençât a pleurer. Soudainement, elle criât puis disparaisse dans le noir, quelque chose, ou plutôt quelqu’un l’avait tirée par les pieds. Anaïs était affolée, elle criait, elle pleurait, elle aussi voulait que tout ça se finisse.

-Sandra !! Sandra !! T’u m’entend ?!! Répond !! Répond je t’en prie !! cria Max de toutes ses forces.
Puis il courra vers Sandra, lampe torche en main. On l’entendit crier puis plus rien… nous avons cru qu’il était mort mais non, il revenu  vers nous mais avec une énorme griffure sur le visage, qui semblerai avoir été faite avec un couteau. Il s’approchât de nous, affolé, le visage en sang.
-Max ! Qui t’a fait sa ?! A répliquée Anaïs
-J’ai pas le temps d’expliquer ! Courez !!

Alors nous fîmes ce qu’il a dit et nous avons essayé  de trouver l’escalier qui mène au 4eme étage. Chose perdue car celui qui avait tué Sandra et Sofiane, était devant nous… Je pouvais voir clairement grâce à ma lampe torche son visage, il était effrayant, à moitié brulé. Son sourire me glaça le sang, ses vêtements étaient tachés de sang. Nous fîmes demi-tour en courant, j’eu étaient nos lampes pour qu’il ne puisse pas nous voir mais le cyalume luisait dans ma poche. C’est alors que j’entendis encore son rire, puis le cri d’Anaïs.
-Anaïs !! Anaïs répond !!

J’entendis un léger gémissement puis plus rien, c’était celui d’Anaïs, j’en suis sur. Je courais vers le gémissement mais Max, ou du moins ce qu’il restait de lui, me rattrapât  par l’épaule, j’allumai ma torche pour être sûr que c’est bien lui, et la, vision d’horreur, un de ses bras a été coupé, il était a moitié dévisagé par des griffures faites avec un couteau. Je criât a la vue de cette vision et courra le plus vite possible vers le prochain escalier. Je sentais que Max me suivait, il n’était plus lui-même, il disait des choses bizarre comme : «  n’ai pas peur, viens t’amuser avec moi ! ».

Une fois avoir trouvé l’escalier, je montât  au 4ème étage, laissant Max derrière moi, seul dans l’obscurité. Sa me faisait mal au cœur mais j’étais obligé, il n’était plus lui-même. J’avançât donc dans ce couloir obscure, ma lampe torche commençât a manquer d’énergie, ce n’est pas dans un moment pareille que t’a envie qu’il te lâche. J’avançât dans ce couloir sombre, puis j’entendit les gémissements d’Anaïs, ce qui me redonna courage pour avancer. J’entendis encore ce rire, puis j’entendis Anaïs hurler à l’aide. Je me dépêchât d’aller au bout de ce couloir, mais je m’arrêtai net en voyant une lumière s’allumer au bout. Je me cachât derrière un des bureaux qui trainait dans le couloir et me rapprochât discrètement vers la lumière. C’était horrible, Anaïs était accrochée au mur, cet homme se rapprochait d’elle, il avait un petit sac remplit de couteau, j’imaginais déjà le pire.

Il prit un des couteaux et le planta dans la main d’Anaïs, elle criait à s’en casser la voix, et moi j’étais là, impuissant, je ne pouvais que regarder… . Il prit un autre couteau et transperçât l’autre main d’Anaïs, je n’en pouvais plus, je ne voulais plus regarder ça. Je me cachât derrière le bureau, en espérant que tout ça ne soit qu’un rêve. Je n’en pouvais plus de l’entendre crier sans rien faire. J’entendis son dernier cris, puis plus rien, j’eu le courage de relever la tête et je ne pus m’empêcher de lâcher un cri muet. Elle était éventrée, du sang coulait partout, on pouvait voir ses organes… .

D’un coup le tueur s’arrêta de bouger, il retourna doucement la tête vers moi en souriant, un sourire glaçant. Je pouvais l’entendre dire « fuis ! ». Je fis ce qu’il dit et pris mes jambes a mon cou et me mis en direction de l’escalier vers le 3eme étage.
Je descendis tous les autres, je pouvais sentir qu’il me suivait. Une fois arrivé devant la sortie, j’ouvris la porte, le grillage puis courut de toutes mes forces en direction de ma maison. Maintenant, je sais qu’il me cherche, je le voit partout ou je vais, j’entend son rire, je voie sa silhouette dans l’ombre… je sais  qu’il ne me lâchera pas jusqu’au jour ou je mourrais, peut-être de sa main, ou peut-être pas…

Fanadeggg

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#853 Le 19-07-2013 à 13h44

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J'en ai une, pas super bien écrie, et surtout, écrite dans la minutes (j'ai pas mal d'imagination ^^)
bref, bonne lecture !

Chopper
« J'avais une vie totalement normal et dont je me plaignait que très rarement. Pourtant, un soir a suffit pour que tout bascule.
Je m'appelle Malory, j'ai 14 ans et j'ai fait un rituel satanique des plus périlleux qui va me coûter la vie.
J'étais seule dans ma chambre. Mes parents étaient partis chez des amis pour la promotion de mon père. Du coup, j'eus la merveilleuse idée de reproduire le rituel : Cauchemars ou réalité ?
Je devais noter le nom que j'aurais aimé avoir sur une feuille, éteindre les lumières et illuminer la chambre d'une simple bougie, puis, verser une goutte de mon sang et l'étaler sur toute la surface de la  feuille. Je ne savais pas ce qu'il devait arriver après cela, mais je dus l'apprendre a mes dépends.
La bougie s’éteignit. Je n'attendis que quelques minutes pour enfin apercevoir une ombre devant moi. Une ombre inhumaine, un masse je devrais dire. Les yeux rouges, la bouche ouverte laissant entrevoir ses longues dents pointus et une tronçonneuse a la main. Je ne pus crier tant la peur me paralysais. Je pris sur moi-même et sortis en courant de ma cambre afin de rejoindre la porte d'entré. J'essayais en vain d’ouvrir mais elle étais bloqué. J’entendais cette chose arriver vers moi, elle agrippa de sorte a ce que je ne pus fuir. Je me retournais. Il portait un masque ce n'étais pas son visage. Je pouvais voir les deux ficelles se rejoignant a l'arrière de son crâne. Je entais de lui demander :
-Qui es-tu ?
-Chopper. ( a prononcer Chppeur)
-C'est a cause du rituel que tu es là ?
-Quel rituel ?
Je levais les sourcils de surprise. Que faisait cet homme ici ?
Sans m'en apercevoir, a chaque question, il me serrait le coup de plus en plus fort. Il m'étouffais et je me débattais. Je réussit a m'échapper de son « étreinte » et courus me planquer dans un endroit que seule moi connaissais.
Maintenant, j’entends ses pas et sa tronçonneuse arriver. Le bruit se fait plus fort. Il approche, je le sens. Mais je souhaite, qu'avant ma mort, tout le monde sache que c'est Chopper qui m'a tué... »
Cette lettre fus trouvé a coté du corps inerte de Malory et d'un morceau de papier, où il étais lisiblement écris « Clémence ». Le tueur en question est rechercher depuis de nombreuses années. Il est l'auteur de plusieurs tueries tout près de Paris et partout ailleurs en France. Mais le plus dérangeant dans cette affaire et que Malory n'a pas été découper comme les autres. Elle serais morte d'un arrêt cardiaque. Chopper se serais simplement charger d’inscrire « Clémence » sur les bras de la jeune fille.
Faites bien attention, Chopper et toujours en liberté. Il peut être n'importe où... Même dans votre propre ville...

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#854 Le 24-07-2013 à 21h59

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Court mais sympa, j'attends de nouvelles histoires de toi /library/php/forum/views/smilies/wink.png !

Bonne chance !

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#855 Le 25-07-2013 à 13h45

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Marion0039
The French are so hardcore, they eat pain for breakfast !
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matou945 a écrit :

moi je connaîs une histoire

c'est une vielle dame qui un jour elle a vue une tâche sur son four et elle a regardé de plus près puis elle a vue que la tâche avait la forme d'un visage alors elle a décidé d'appeller ses vieuilles copines qui sont venues et elle leurs a montré la tâche ses copines elle aussi disent qu'elle voient un visage. Alors plus les jours passaient plus il y avait des visages. Mais un ojur la vieuille dame est tombé très malade alors ses copines sont venues lui rendre visite à l'hôpital et la vieuille dame leurs a demandé si elles voulaient bien voir si tout allais bien chez elles alors ses copines ont dient oui alors elle leurs a donné les clées donc elles sont allé chez elle et elles ont vues tous les visages qui pleuraient.
Ensuite la vieuille dame est sortie de l'hôpital elle était plus malade alors elle est rentré chez elle et les visages ne pleuraient plus alors elle a décidé de faire des recherche sur sa maison et elle a appris que sa maison avait été construite sur ...
UN simetière !!!!!!!!!!!!  /static/images/forum/smilies/cromimi-aaah.gif
Cette histoire est dans les Spoilers en haut de la page désolée pour toi -,-

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#856 Le 25-07-2013 à 13h52

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super vos histoires ! /static/images/forum/smilies/ham-content.gif

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#857 Le 25-07-2013 à 14h24

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Une amie ma un jour raconter l'histoire du fou du roi :
  C'est l'histoire d'une mère et de ces deux filles , leur famille serait maudit par le fou du roi , celui-ci tuerait les membres de cette famille . Un jour la mère travaille de nuit et enferma alors c'est filles dans leur grenier . La mère leur "Si il y a un problème apellaient - moi " la plus jeune entendit un bruit et regarda par la fenêtre elle vit le fou du roi elle appela alors sa mère " Maman il a y a le fou du roi dehors , je l'ai vu par la fenêtre " la mère lui répondit " Chérie se n'est pas possible il n'y  a pas de fenêtre juste un miroir ...." Les deux petites filles se firent tuer par le fou du roi !

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#858 Le 25-07-2013 à 17h21

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Smileydu40 a écrit :

Une amie ma un jour raconter l'histoire du fou du roi :
  C'est l'histoire d'une mère et de ces deux filles , leur famille serait maudit par le fou du roi , celui-ci tuerait les membres de cette famille . Un jour la mère travaille de nuit et enferma alors c'est filles dans leur grenier . La mère leur "Si il y a un problème apellaient - moi " la plus jeune entendit un bruit et regarda par la fenêtre elle vit le fou du roi elle appela alors sa mère " Maman il a y a le fou du roi dehors , je l'ai vu par la fenêtre " la mère lui répondit " Chérie se n'est pas possible il n'y  a pas de fenêtre juste un miroir ...." Les deux petites filles se firent tuer par le fou du roi !
Bizarre !!

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#859 Le 25-07-2013 à 17h59

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je suis spécialiste en histoire d'horreur je lit ce topic mais c'est la première fois que j'écris j'ai lu de la page 1 et je lis vraiment TOUTES les pages trop bien ça me fait fliper !!!
une nouvelle :
Bluddy Merry
Il était une fois une fille qui s'appellait Bluddy Merry et qui était très malade , ses parents ne le savait pas , quand elle dormait on avait l'impression qu'elle était morte !
Un moment on croyait qu'elle était MORTE ! alors on l'a enterrer et pour être sur qu'elle soit morte on lui a mit des cordes reliées a des cloches autour de ses menbres . dans la nuit elle sonna 10 fois et après et elle est morte les mains en sang !!!!
La légende raconte que si tu te mets devant un mirroir avec des bougies allumées et que tu dis bluddy merry 10 fois tu vois des mains en sang , tu te retourne et bah rien elle les mains elle te tues !

Mais c'est qu'une légende pas de quoi s'inquiéter ! Des avis ?

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#860 Le 26-07-2013 à 09h41

Membre Populaire
Marion0039
The French are so hardcore, they eat pain for breakfast !
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Coucou tous le monde! /library/php/forum/views/smilies/smile.png
Balle balle balle....

C'est l'histoire de deux petites fille Lisa et Kathryn , que leurs parents sont partis travailler ( ils travaillent très tard le soir ) . Les deux petites regardent la télé quand l'une dit à Lisa dit à Kathryn : " Il faut que j'aille aux toilettes,mais j'ai trop peur d'y aller toute seule " . Kathryn l'accompagne donc aux toilettes et lui dit de chanter la chanson balle , balle , rebondi pour s'assurer qu'elle va bien . Alors Lisa rentre dans les toilettes et commence à chanter . Au bout d'un moment , la voix commence à devenir plus grave , comme celle d'un homme . Kathryn , inquiète ouvre la porte de la salle de bain et voit un homme qui fait rebondir la tête de sa sœur sur le plancher ...

/static/images/forum/smilies/cromimi-aaah.gif

Floopy

Ce soir-là, les parents d'Aurélie allaient au théâtre. Ils avaient insisté pour qu'elle vienne avec eux, mais elle avait refusé : L'envie de pouvoir passer une soirée toute seule à l'appartement la tentait trop. Elle avait maintenant douze ans et ses parents n'avaient pas vu d'objection à la laisser seule pour une soirée.
Ils étaient déjà partis depuis une bonne heure, et Aurélie était tranquillement installée sur le canapé, occupée à regarder la télé. Posée sur ses genoux, une assiette qui était bien remplie il y a encore peu de temps était maintenant presque vide. Repue, ayant fini de manger, elle posa l'assiette par terre pour que son chien, Floppy, vienne la lécher.
Les minutes passaient et Aurélie était toujours hypnotisée par la télé, mais son chien ne venait pas. Finalement, préoccupée par son absence, elle l'appela :
« Floppy ?... Floppy ?... Hé mon toutou ! il en reste encore un peu dans l'assiette ! T'en veux pas ? »
Mais Floppy n'arrivait pas.
Alors Aurélie, un peu inquiète, se leva et regarda autour d'elle : Il n'était pas dans le salon. Elle partit voir dans la cuisine, il n'était pas là non plus :
« Floppy ? ... Allez mon p'ti chien ! Tu t'es caché où ? »
Elle sursauta quand le téléphone à côté d'elle sonna. Elle hésita juste un instant, puis décrocha :
« Allo ?

- ...

- Allo ? C'est qui ?

- Ca va Aurélie ?

- Heu... vous êtes qui ? Je ne vous connais pas ?

- Mais moi je te connais ! Je connais encore mieux ton chien d'ailleurs... Au fait, tu le cherches ? Tu sais, tu ne risques pas de le trouver, je me suis occupé de lui, puis je l'ai mis dans une cave du sous-sol de l'immeuble. »

- Quoi !

- Là je suis à côté de lui, et il est un peu mal en point tu sais.

- Vous avez fait du mal à Floppy ?

- Oh, si peu... Mais maintenant Aurélie, c'est à ton tour : je viens te chercher !»

Submergée par l'effroi, elle raccrocha le téléphone.



Il allait venir ! Il avait pris Floppy !... Ca n'était pas possible ! Ca ne pouvait pas être vrai ! C'était une plaisanterie ! Floppy devait être encore tranquillement quelque part dans l'appartement !

« Floooppyyyyyy ! Alleeezzzz ! Viens ici s'il te plait ! »

Elle commençait à courir vers la chambre de ses parents quand la sonnerie du téléphone reprit et lui glaça le sang : Il rappelait.
Il n'y avait rien dans la chambre, tout était en ordre, Floppy n'y était pas.
Et le téléphone, entêté, continuait de sonner.
Aurélie courut alors vers la salle de bain et ouvrit la porte à toute vitesse espérant voir Floppy à l'intérieur : mais elle était vide.

Apeurée, elle regarda dans la baignoire, craignant de ce qu'elle aurait pu y découvrir, mais il n'y avait rien non plus.

Et le téléphone, obstinément, continuait de sonner.



La sonnerie obsédait et stressait de plus en plus Aurélie, elle finit par craquer : Elle couru jusqu'à la cuisine, et nerveusement prit le combiné.

« Ca n'est pas très poli de raccrocher au nez des gens, Aurélie.

- ...

- Tu sais où je suis ?

- Heu... n... heu... n... non.

- Au rez-de-chaussée, je suis sorti de la cave, et je continue de monter !

- Vous... vous... allez... ! Non, j'... j'ai... j'ai peur !

- Ah oui ? Tu as peur ? C'est bien ça !

- ...

- Et tu sais, si tu bouges de chez toi, je redescends et je tue ton chien !

- Quoi ! ne faites pas de mal à Floppy, il est gentil ! Il fait de mal à personne ! »

Aurélie pleurait, elle tremblait à tel point qu'elle avait du mal à tenir le combiné du téléphone dans sa main.

La voix à l'autre bout du fil reprit :

- Tu sais Aurélie ?

- Nooonnn, arrêêêteeezz, et ne faites pas de mal à Floppy !

- Je suis au premier étage maintenant ! »

Aurélie fut prise d'une énorme montée de panique : Elle habitait au deuxième étage ! Elle raccrocha le téléphone : Il était tout proche d'arriver.



Il fallait qu'elle se cache, elle pensa à aller sous le lit, ou encore dans la baignoire, mais elle se dit qu'il la trouverait facilement dans ces endroits-là.

Le téléphone se remit à sonner, le son la fit sursauter.

Aurélie avait douze ans et sa petite taille lui donna soudain une idée : Elle ouvrit la porte des placards sous l'évier, et doucement, elle se glissa dedans en poussant tout au fond les bouteilles de produits ménagés. Elle se recroquevilla, arriva à trouver assez de place pour s'y glisser complètement, puis referma la porte de l'intérieur.



Et le téléphone continuait de sonner...

Et le téléphone n'arrêtait pas de sonner...

Et la sonnerie continuait, entêtée, obstinée...

Et la sonnerie devenait insupportable !



Brusquement, à bout de nerfs, sans réfléchir, elle sortit de sa cachette, et décrocha le combiné. Fauchant ses derniers espoirs d'entendre ses parents au bout du fil, la même voix sinistre reprit :

« Quand même ! Tu as fini par décrocher Aurélie.

- ...

- Tu sais où je suis ? »

Aurélie ne répondit pas, elle était pétrifiée, peut-être était-il juste à côté d'elle, là, dans l'appartement.

« Je suis au troisième étage, et je viens te chercher ! »

La surprise s'empara tout d'abord d'Aurélie : Il ne s'était pas arrêté à son étage ! Il ne s'était pas arrêté au second ! Puis comme un éclair dans sa tête, elle se dit qu'elle avait là une occasion unique pour s'échapper. Sans réfléchir plus longtemps, elle raccrocha le téléphone et se précipita à la porte d'entrée. Doucement et promptement, elle ouvrit la porte et se glissa à l'extérieur : sur le palier il n'y avait personne. Sans prendre plus de temps pour observer les étages, elle descendit l'escalier à toute vitesse. Elle était pieds nus, et l'escalier était froid, mais au moins elle ne faisait pas de bruit.



Elle descendit en trombe jusqu'au rez-de-chaussée. Là elle s'arrêta net : elle entendait les gémissements d'un chien provenir de la cave, elle en reconnu le son : C'était Floppy, il était là, en bas. Elle aurait voulu sortir de l'immeuble, puis courir sans plus s'arrêter, mais son petit chien était dans une des caves du sous-sol de l'immeuble, peut être blessé, peut être en train de souffrir, peut être en train de mourir. Des larmes coulèrent sur les joues roses d'Aurélie. Torturée par les plaintes de son chien, elle ouvrit la porte de la cave, et descendit.



Elle entendait son chien gémir, de temps en temps il émettait un petit aboiement timide. En se guidant au son, elle finit par trouver la cave : La porte était ouverte, Floppy gisait sur le sol, couché sur le côté, les pattes avant et arrière attachées. Quand il vit Aurélie, il aboya un peu plus fort. Le voir comme ça la fit pleurer.

« Bouh ! Floppy... Hmmm... hmmm... hmmmph... je vais te détacher mon petit chien... oh ! mon petit chien... »

Elle s'approcha précipitamment vers lui, il aboyait avec force maintenant. Elle s'accroupit à côté de lui, elle commençait à défaire ses liens tout en réfléchissant : Le téléphone sonnait quand il est passé du premier au troisième étage... Mais alors il aurait dû entendre la sonnerie quand il est passé sur le palier ?... Il aurait dû entendre le téléphone sonner ? vu le bruit qu'il fait !... Alors si... si... s'il avait vraiment été dans... l'escalier, pourquoi il...




JE SUIS DERRIERE TOI !

L'internat:

WARNING : Cette histoire est un fait réel les personnes de cette histoire ne seront pas nommé vu le fait traumatisant qu'elles ont vécu en découvrant la scène.


Dans un internat anglais prés de Manchester, les étudiants se préparé à rentrer chez eux ou à passer noël à la résidence. Tout le monde étaient joyeux et attendaient noël avec impatience. Les habitudes ne changées pas avec les cours en moins. Les "grands" organiser des activités pour les plus jeunes ou faisait des randonnées dans le parc de l'internat. Le soir des veillées étaient accoutumées aux vacances et plus particulièrement aux vacances de noël. Mais même si les vacances de noël étaient faite de guettais et de joies certaines personnes n'étaient pas gentille avec tout le monde et même plus particulièrement avec une personne. Un garçon chétif petit de taille craintif et surtout très naïf personne ne mérite ça et encore moins pendants les vacances les plus belles de l'année. Presque tout le monde ce moqué de lui à cause de sa couleur de cheveux et de ses lunettes. Le pauvre garçon était roux et porté des lunettes roses que lui avaient choisi ses parents à cause du prix, mas ces lunettes ne lui servaient plus à grand chose puisque il n'y voyait plus rien depuis très longtemps. Les surveillant étant les préfets de chaque maison (les écoles anglaise sont diviser en plusieurs maison) donc étant aussi des élèves ils ne bougeaient pas quand il avait des ennuies. Le garçon est en perpétuel stress et accumule des troubles obsessionnels compulsifs qui ne l'avantagent pas plus que sont apparence. Le plus étrange dans sont comportement est qu'il se parle lorsqu'il est dans un coin, puis roule de l'œil pour être attaquer par une crise d'épilepsie (perte de connaissance avec contraction frénétique des muscles du corps comme si on était procédé par un être inhumain (ce qui n'est pas possible cette histoire est réel je vous le rappelle)). Après la crise passer il partait se coucher et on l'entendait hurler à la mort dans sont sommeil comme si on l'égorgé vif dans sont sommeil. Imaginez vous dans votre sommeil que une main vienne vous prendre une épaule et une lame froide qui se glisse dans votre gorge lentement pour vous faire voir la mort arrivé pats à pats et vous envelopper de sot voile blanc. Cet enfant enfin cet adolescent vivait ça dans son sommeil sans pouvoir ce réveiller en vivant cet horreur seconde par seconde chaque nuit. Beaucoup de personne deviendrait vite fou. Ce garçon n'a presque plus de cœur ni de pitié pour ses camarades il devenait froid hostile même en vers les quelques professeur qui était resté.
Noël approché et le garçon ne se montré plus beaucoup il resté enfermé dans sa chambre qui, même si c'était un petit dortoir, resté souvent vide et sans activité. Le soir il sortait du dortoir et aller aux cuisine puis revenait ses camarades de chambre eux ce moquaient encore plus du garçon, les remarques était de plus en plus blessante et le garçon lui devenait un glacier plus rien ne pourrais réchauffer son cœur. Enfin arriva le 24 décembre tout le monde était à la fête au préparatif sauf le garçon mais contrairement à d'habitude il se promena dans les cuisines fasciné par les ustensiles argenté. Les lames aiguisées comme des rasoirs, pendant au dessus du plan de travail ce balancées doucement avec les petits courants d'air qui venaient par ci par là et les faisaient entrechoquer les lames qui émettaient de petit titillements. Puis tout d'un coup le plus long couteau sortit de son croché et fendit pour ce planter dans le plan avec un bruit net sec et précis. Le garçon resta les yeux fixés sur la lame. Puis une voix se fit entendre de l'autre côté de la cuisine. C'était le cuisinier, mais le garçon s'enfuit. Le cuisinier était arrivé de bon heure pour préparer le repas de noël, les dindes étaient arrivées il fallait les farcir et les faire cuir ce qui prenne beaucoup de temps. On ne revit plus le garçon de l'après midi. Le repas arrivât et les enfants se réunirent à table. L'enfant ce retrouvât au bout de la table comme d'habitude mais les autres autour de lui ne s'arrêtèrent pas de se moquer de lui, de le charrier ils étaient vraiment cruelle avec lui ne lui laissant jamais profité de la guettée du repas. Le garçon ne pris même pas de la bûche de noël il était partit en courant dans le dortoir tout en hurlant et pleurant. Tout le monde à ris même les professeurs et les surveillants. Il se réfugiât dans son lit. Mais son cœur se refroidit pour de bon il se rétractât, s'asséchât, il ne ressentait plus que de la haine envers tout le monde, il se haïssait lui même ses parents le monde entier.
Les enfants après la veiller ires vite au lit pour s'endormir avant les douze coups de minuit. Tout le monde s'endormi, tous, non le garçon lui était toujours réveiller avec cette haine qui lui terrasser le ventre une haine qu'il faut assouvir au plus vite mais qu'il faut savourer. Minuit commença à sonner au clocher de l'internat puis au douzième coup une lame argenté s'abattit sur la gorge d'un enfant de la chambre puis un autre au cœur. Un autre enfant se fit éventré et égorgé pour éviter les cris, puis un troisième se vit enfoncer la lame dans la bouche lui cassât une dent lui coupant la langue et s'abattit au fond de sa gorge un petit cri se fit entendre et deux coup lui transpercèrent les poumons. Le dernier de la chambre fut égorgé et eu les yeux crevé puis arraché avec le bout de la lame. Une lame qui l'avait nourrit durant son internat, la lame du cuisinier un coup long mais léger que le garçon maltraité s'emparât l'après midi avant que le cuisinier le remarque. La seule personne étant encore vivante était ce dernier il était couvert de sang et tenait toujours larme des crimes dans la main. Mais il ne décidât pas de s'arrêter là il était décidé d'aller plus loin comme si tout le mal de la terre était venu en lui, il prit les corps les traînât aux milieux de la chambre puis commençât à découper leur membre il mit les bras droit d'un côté les gauches de l'autre puis les jambes ou il suivit le même procédé. Il prit les têtes les faisant rouler sur le sol comme des ballons. Puis il commençât une partie de lego humain il assemblât une tête sur un corps avec un bras d'une autre personne il échanger les jambes et les bras s'amusant à leur donner des noms différent à chaque fois plutôt des surnoms dont ils s'amusaient de lui donner des surnoms humiliant. L'horreur ne s'arrêta pas là il voulait que tout les élèves voient ça. Il alla dans chaque chambre et déposât un membre ou une tête au milieu de chaque pièce pour qu'a leur réveil ils voient leur camarade en charpie il mit une tête dans la chambre des surveillant et un corps sans membre ni tête dans celle des professeurs. Imaginez vous vous réveillant le matin de noël avec un morceau de corps ensanglanté dans votre chambre ou sur votre lit à peine réveillé imaginez-vous l'effroi que vous auriez.
L'enfant sortit et alla dans les bois sous la pluie, le couteau sanglant toujours dans la main il trouva un arbre ou s'abriter et attendit. Il voulait entendre les hurlements des enfants se réveiller avec leur morceau de corps devant le nez. 6h00 un cri retentit puis l'internat entier hurla un cri effroyable montant des murs sortant des cheminées. Le garçon sourit puis partit en s'enfonçant dans la forêt. Plus personne ne le revis et certain crois encore qu'il pourrait roder au alentour de l'internat... Mais attendez REGARDEZ DERIERE VOUS IL EST LAAAAAAAAAAAAAAAAA.


Chair  Humaine:
En 1946, dans Berlin en ruine,
une jeune femme rencontre un aveugle errant et tâtonnant
qui lui demande de bien vouloir porter une lettre à une adresse.
Charitablement, elle accepte et prend le chemin de l'adresse indiquée;
mais en se retournant, elle aperçoit l'aveugle qui s'enfuit
en courant, sans aucune hésitation, et qui disparaît au coin de la rue.
Trouvant ce comportement suspect, la jeune femme va raconter
son histoire à la police.
Peu après,les policier découvrent à l'adresse indiquée deux hommes et une femme ainsi qu'une grande quantité de viande, ce qui valait de l'or à cette époque.
Avec horreur les policiers s'aperçurent qu'il s'agissait de chair humaine. Et le texte de la lettre que la jeune femme devait remettre était le suivant:"
Ceci est la dernière livraison pour aujourd'hui."


Le camping maudit:

C'est l'histoire d'un camping,installé au milieu d'une vallée où avait eu lieu une grande bataille ayant fait beaucoup de mort.On raconte que tous les 13 des mois d'été,Les guerrier mort dans cette vallée lors de cette bataille viennent la traversé et écrasent toutes les tentes sur leur passage.

Je suis partie de ce camping le 12 août,j'ai vraiment eu chaud!!!  smiley-cromimi/ham-06

Dernière modification par Marion0039 (Le 26-07-2013 à 15h29)

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#861 Le 26-07-2013 à 10h46

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Bonjour,

Marion0039 , merci d'arrêter le flood !
Si tu souhaites poster plusieurs "histoires" à la suite, tu n'as qu'à modifier ton premier post et copier/coller tous les autres textes dedans.
Supprime-aussi les post "en trop" .

Bonne journée.

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#862 Le 26-07-2013 à 12h56

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Ou vous trouvez vos histoires sérieux /static/images/forum/smilies/cromimi-aaah.gif

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#863 Le 26-07-2013 à 13h09

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ttttttrrrrroooooppppp bizzzzzzaaaarrrrd vos histoire ! /static/images/forum/smilies/cromimi-aaah.gif/static/images/forum/smilies/ham-09.gif

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#864 Le 26-07-2013 à 15h30

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Marion0039
The French are so hardcore, they eat pain for breakfast !
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sagittaire a écrit :

Bonjour,

Marion0039 , merci d'arrêter le flood !
Si tu souhaites poster plusieurs "histoires" à la suite, tu n'as qu'à modifier ton premier post et copier/coller tous les autres textes dedans.
Supprime-aussi les post "en trop" .

Bonne journée.
C'est bon c'est fait et désolée du dérangement ^^'

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#865 Le 26-07-2013 à 17h05

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il était une fois une petite fille qui acheta une poupée

le soir même la petite fille entend
-marie donne moi ton coeur et ton foie je suis dans la cuisine
marie descend et va dans la cuisine elle voit deux yeux rouges et un couteau puis elle remonte dans son lit. Ensuite elle entend
-marie donne moi ton coeur et ton foie je suis sur la première marche de l'escalier.
la petite fille va voir la premiere marche mais elle ne vois rien elle retourne se coucher. ensuite elle entend -marie donne moi ton coeur et ton foie je suis sur la dernière de l'escalier. marie va voir mais ne vois toujours rien.
elle retourne se coucher mais elle entend
-marie donne moi ton coeur et ton foie je suis dans la chambre de tes parents.
marie va voir et vois ses deux parents morts égeorgée.
la petite fille va se caché dans son lit sous sa couette.
elle entend
-marie donne moi ton coeur et ton fois je suis juste derrière toi!!!/static/images/forum/smilies/cromimi-aaah.gif

cette histoire vous a t'elle fait peur donner votre avis

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#866 Le 26-07-2013 à 18h32

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Le puzzle

Un jour une dame vit sur la table de sa cuisine un puzzle . Elle qui en était fan, elle s'installa sur son canapé de son salon et commença le puzzle . Et plus elle avançait dans la construction de son puzzle , plus elle commençait a apercevoir la fenêtre de son salon , sa télé , et elle commençait même a se voir elle même de face ... et elle termina son puzzle .
Quelque temps après , on retrouva cette dame , morte égorgée , dans son salon et a côté son puzzle terminé avec elle entrain de se faire égorgée pas un monstre ...

Dernière modification par cocotte57 (Le 26-07-2013 à 18h34)

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#867 Le 26-07-2013 à 18h33

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Marion0039
The French are so hardcore, they eat pain for breakfast !
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Coucou Ambre,
désolée,cette histoire ne m'a pas fait peur parce que la connaissais déja et que se n'est pas la bonne histoire:normalement,se n'est pas une poupée mais la grand-mère de la fillette morte qui vient.

Si la musique fait partie de ta vie
╔══╗♫ ♪
║██║♪
║(O)║
╚══╝

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#868 Le 26-07-2013 à 19h03

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sayu0 : on les invente nos histoires ou on nous les a raconter ou encore on les trouve dans des films d'horreur genre SCRIME ou CHEKKY LA POUPEE !!! voila on les trouve comme ça

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#869 Le 27-07-2013 à 15h34

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Un jour il y a une de mes amies qui ma raconter une histoire :
C'était 2 enfants qui était tous seule et qui regardaient la télé .Un moment (pendant les infos )ils parlèrent d'un fou qui c'était évadé ! Après les enfants sont partis se coucher
et le petit garçon dit à sa soeur de se mettre sous le lit comme sa si le fou venait sa serait lui qui serait mort en premier ! Pendant la nuit ils entendirent "BOUM BOUM SHI"
et le lendemain le petit garçon regarda et sa soeur était morte , car le fou n'avais plus de jambes et il se traînait avec des couteaux !!!
Comment avais vous trouver mon histoire !

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#870 Le 27-07-2013 à 16h03

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Moi j'en ai pas

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#871 Le 27-07-2013 à 16h18

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doncha391
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Coucou,

Petite histoire qui fait super peur : La vieille dame et son chien

Une très vieille dame restant seule dans une grande maison écarter de la ville, attend son garçon qui doit lui rendre visite et qui n'est toujours pas arrivé. Elle est assise dans une chaise berçante, elle lit un livre toute en flattant son chien. Après quelque instant, elle entend un bruit venant de la cuisine, c'est le robinet de la cuisine qui coule, goutte par goutte. Elle se lève, puis va le fermer. Elle revient ensuite, s'installe a nouveau, reprend son livre, et recommence à flatter son chien. Soudain, le bruit recommence, mais cette fois-ci il ne provient pas de la cuisine, mais de la salle de bain du premier étage. Elle se relève donc, se rend jusqu'à la salle de bain, puis ferme le robinet qui coulait à un rythme plus rapide que la première fois. Encore une fois, elle retourne s'asseoir puis continue à lire son livre toute en flattant son chien. Mais quelques instants plus tard, elle entend le bruit de l'eau qui coule à un rythme endiablé. Elle passe donc devant la cuisine, rien le robinet ne coule pas, les toilettes du premier étage, toujours rien, elle monte donc au second étage, puis se rend à la salle de bain, le robinet coule, elle le ferme donc, mais constate que le bruit persiste et il qu'il est tout proche. Elle remarque que le rideau de douche est tiré! Elle s'approche, et tire d'un coup sec le rideau! À sa grande surprise, elle aperçoit son chien égorgé qui saigne goutte par goutte dans le bain! La question persiste toujours: Qu'est-ce qu'elle pouvais bien flatter ?!?


Une autre histoire : La petite Fille


c'est un couple qui rentre tard le soir de chez des invités(en voiture).Tout à coup, ils aperçoivent une voiture au bord de la route .en temps normal ils ne se seraient certainement pas arrêter mais là une petite fille pleuraient à coter. Alors le couple demanda a la fille ce qu'elle avait. Elle montra du doigt la voiture. Quand les 2 regarde à l'intérieur ils voient deux personnes égorgée. Alors, il se dise que ce n'est pas très prudent de rester ici alors ils filent au poste le plus proche...30km...Tendit qu'ils était en route, le mari se retourna et vit la fille avec un sourire jusqu'au oreille.il regarda dans le rétroviseur et vi, sa femme , égorgée, les yeux dans le vide  et la petite fille à côte léchant un couteau plein de sang...


Je les est lus plusieurs foies dans des livres/blogs et j'avais super envie de vous les raconter ^^'

Bouhh ... Z'ai peur !!

Vous en voulez d'autres, vous les fans d'histoire d'horreur demandé moi en MP /library/php/forum/views/smilies/wink.png

Bisous.

Dernière modification par doncha391 (Le 27-07-2013 à 16h27)


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#872 Le 27-07-2013 à 20h04

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c'est super vos histoires! j’essayerais d'en écrire une dans pas longtemps ^^!

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#873 Le 27-07-2013 à 20h13

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cocotte57 a écrit :

Le puzzle

Un jour une dame vit sur la table de sa cuisine un puzzle . Elle qui en était fan, elle s'installa sur son canapé de son salon et commença le puzzle . Et plus elle avançait dans la construction de son puzzle , plus elle commençait a apercevoir la fenêtre de son salon , sa télé , et elle commençait même a se voir elle même de face ... et elle termina son puzzle .
Quelque temps après , on retrouva cette dame , morte égorgée , dans son salon et a côté son puzzle terminé avec elle entrain de se faire égorgée pas un monstre ...
Dites-moi votre avis sur mon histoire !!! /library/php/forum/views/smilies/smile.png

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#874 Le 27-07-2013 à 20h36

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doncha391
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Coucou, Sa fait peur /library/php/forum/views/smilies/smile.png Belle histoire !
C'est toi qui la écrite ?


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#875 Le 28-07-2013 à 12h14

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Merci ! Oui !

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